La nuit |
Mon corps semble mort comme les arbres dehors Me protège par les draps le sommeil m'a quitté le désir est entré Je deviens sable mouvant inerte et vivant envie d'être aimé comme la fleur du rosier De laisser évader mon parfum, d'être protégé de tes mains, que tu sois le soleil de ma nuit mon amour, Mon abri mais tu sommeilles et moi... je veille je supplie Morphée d'être enlevé et me fasse oublier le désir de ses baisers. Voici le matin mon désir s'est éteint plus de gestes doux ni bisou dans le cou. L'amour s'est consumé comme les gestes familiers tu ne vois pas. Toi mes larmes sans voix et mon coeur qui pleure et qui se meurt. J'étais ton livre tu écrivais en moi,tes mots me rendaient ivre Tu étais ma foi l'encre a séché sans buvard,sans tacher le livre sans fin touche à sa fin Thierry , Belgique |